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La Cousinade

ANEDOCTES

Cette page servira de recueils d'anecdotes ou de souvenirs que vous nous ferez partager avec nos grands parents, oncles, tantes cousin, cousines etc...

Un moment, un lieu, un souvenir qui peut paraitre anodin pour vous même...

ce n'est pas qu'un lieu de souvenir avec nos proches disparus mais un souvenir avec notre vie actuelle et que vous désirez nous faire partager!!!

A vos Plumes,

Je retransmettrais vos messages tel que je l'ai aurais reçu...


Message de Domingo GONZALEZ, transmis le mardi 15 mars 2011


bon courage pour cette organisation grandiose. désolé que ma famille n'y participe pas. Nicolas est pris par ses nouvelles études, Emeline est aussi très loin. J'espère que la prochaine fois nous pourrons y assister.

je vous souhaite une bonne cousinade et espère que tout le monde sera ravi de se revoir...

Pour les anecdotes, Rosa doit en avoir pas mal.

Pépé et Mémé ont donné beaucoup pour que l'harmonie règne dans cette famille nombreuse, mais les aléas de la vie en ont éloignés certains, mais l'amour reste au fond du coeur d'une mère...
c'est là que l'on trouve le plus grand pardon. Maintenant nous sommes tous pères et mères et on sait ce que ça veut dire.

gros bisous et bon festoiement. je regarderais photos et commentaires sur le site

bisous

 Marie Carmen GONZALEZ

Je me souviens quand mes parents et oncles et tantes tuaient 4 ou 5 cochons et que l'on se réunissait ensuite autour d'une grande table... c'était la saint Cochon!!!

On faisait nos valises, moi, Rosa et domingo  pour partir rejoindre à travers champs, mon oncle Claudio et Ma tante Maria qui habitaient Villaines car ont les ai adorés. Mais une fois le soir arrivé nous pleurions car nous voulions repartir chez nous...

je me souviens qu'avec Sébastien on faisait les idiots. Sébastien est monté sur une charrue puis il est tombé....
J'ai le souvenir que son pouce  est rentré à l'intérieur de sa main et qu'il la retiré avec un chiffon.

Une fois pépé et mémé était parti à Autun sans nous voir Tia Maria. On a décidé de les suivre à pied et un camion qui  arrivé vite à renversé domingo. Il a été blessé à la tête et c'est Monsieur Harlequin  qu'il l'a soigné car le camion était parti et avait mis domingo dans le fossé.... on été pas vieux!!!

Nous l'avons soigné mais ce n'était pas trop grave, juste un trou derrière la tête, on allait pas aux au urgences de ce temps là!!!

un jour, je suis tombé dans la cave,  ma grand mère (Maria-Manuella), la mère de papa voulait mettre du sucre dans le trou que j'avais à la tête.

Domingo RUBIO

* une grande fête familiale où tout le monde, du plus grand au plus petit avait sa part de folie.

Le matin de bonne heure, vers 6h 30 on commençait à se chauffer avec un bon coup de goutte pour bien prendre des forces pour tuer la bête, ensuite il y avait quelqu'un qui prenait le merlin ou une masse pour l'assommer pour qu'il ne souffre pas trop...

mais comme ont été des fois allumés, on arrivé des fois à le louper. A peu près une heure après et après l'avoir grillé et préparé, ont commencé à griller la viande des plus bons morceaux, les grands d'un côté et les enfants de l'autre et ça continué par le vin chaud, là aussi tout le monde avaient droit bien sûr avec modération, des fois on chantait et dansait, voila tout pour réussir la fête...

pour moi, je crois que c'est des souvenirs pour tout le monde!!!

* ésto era una que tu abuelito, estaba rachando leña para la cocinilla, que con la fuerza que hacia para darle más fuerte al maza, decia ah ah ah, y le pregunta Fabri mi hermano, ti tio porque hace usted ah ah ah, y le contesta tu abuelo, porque me sale de los cojones!!!

Aurélie GONZALEZ

ma mère : une femme qui avait le coeur sur la main qui me faisait des frites pour moi et mes copines, de la soupe pour le village. enfin j'ai appris à connaître ma mère qu'à l'âge de 12 ans...

car avant je n'ai pas vécu avec mes parents, j'ai vraiment un gros chagrin de ne pas l'avoir connu avant ça, je pouvais tout lui demander, elle était toujours là pour moi avec mon pain au chocolat tous les soirs quand je rentrais de l'école et mes 10 francs tout les matins.

mais voilà une mère  nous a quittés trop tôt pour moi sa fille de 15 ans et demi à l'époque...

mon père : j'allais avec lui faire les pieds des sangliers dans les bois. Faire le bois, ramasser des champignons etc...
c'est un père formidable qui voulait aider sa famille comme pour ses parents, pour le jardin, le potager, tourner bien et il aimait ça...

il s'est usé le dos avec son boulot, et ce qu'il a totalement perdu c'est de perdre son boulot et la femme qu'il a tant aimé malgré tout.

j'ai appris à  le connaître à la suite de la mort de  ma mère, cela a été difficile pour lui, car il avait son chagrin. comment allait il faire pour continuer à éléver une ado???

Il a réussi et je lui en remercie de ne pas avoir baisser les bras car par périodes cela a été très difficile, il a su faire son rôle de père..

mes grands parents  étaient formidable, c'était l'avantage de ne pas habiter loin d'eux, ils ouvraient toujours leurs portes.
Avec ma grand mère on jouer souvent au rami, mon grand père aimait regarder les feux de l'amour enfin que de très bons souvenirs...

j'allais faire de temps en temps le ménage, mon grand père me disait de prendre un bonbon ou des fois j'y allais le mercredi quant il n'y avait pas école vers 10 heures, ils goûtaient c'était trop bon de manger avec eux.

enfin ils me manque car ils m'ont aidé après le décès de ma mère, je leur ai jamais dit assez merci pour tout.

Mon oncle Denis était un tonton très réservé mais tant gentil, il ne faisait pas de mal à une mouche, c'est l'un de mes oncles que j'aimais tant car je le comprenais ce qu'il avait en lui enfin je ne peux l'expliquer...
Il passait à la maison voir ma mère et son frère pour se détendre...
mon chat moumoune était chez mes parents et à un moment j'avais mon chat dans les bras et il l'a griffé au visage pauvre tonton et le dernier jour où la toute dernière fois où je l'ai vu, je suis passé le voir chez lui, il était seul et il m'a payé un bon café...
voila l'un des souvenirs que j'ai malheureusement, c'est que je n'ai pas vu venir à ses obsèques mais ce n'ést pour autant que ce jour je nétais pas triste.

Dieu a rassemblé une partie de la vie de mon papa, il a beaucoup de chagrin...

Claudine Rubio

En ce qui concerne mon grand père : En sortant de l'école, tous les soirs, j'allais voir mes grands parents et mon grand père m'apprenait à jouer aux cartes. Et tous les soirs avant de rentrer chez moi, il me donnait un bonbon VICHY.

Cécile Gonzalez

J'avais la même passion que mon père, la course à pied. On allais aussi faire du bois avec lui.

je me souviens que pépé nous tirer les oreilles à chaque fois qu'il nous voyait...
Aussi quant on crié trop fort autour de la croix ou dans la rue en face de chez eux, il sortait et nous raler dessus.

mémé quant à elle nous donner des bonbons...

Domingo Gonzalez

Denis et moi avons aidé nos frères à améliorer les conditions de vie à la maison. je me souviens que Denis aimait bien charger les brouettes de pierres alors que moi je devais les rouler jusqu'au fond du jardin.

Denis était un grand sportif, il courrait avec Christian Duplessis et leur entraîneur Robert Gomez. Denis a gagné beaucoup de courses et ramenait beaucoup de boites de conserves. le soir en mangeant avec nous il aimait des livres de Cow Boys.

Célé s'est coupé le tendon d'un pouce en sculptant un morceau de bois. On a tous vomi!!!

Manuel est celui qui à mon sens avec Jacky ont apporté le plus à la famille alors que nous étions 10, 12 voire 14 à table avec les grands mères et les cousins (Sébastien), Manu ramenait sa petite paye pour aider papa et maman à nous nourrir.

il paraît que nos grands frères nous ont torché quand nous étions petits, on ne s'en souviens pas. Les garçons, faisaient les travaux extérieurs, maçonnerie, jardin, lapin, cochon à nourrir tandis que les filles préparaient à manger et faisaient nos lits!!!

Mémé a eu des misères : elle s'est enfoncé un clou dans le pied que j'ai du lui arracher. elle a été immobilisée pendant plusieurs semaines, j'en garde encore des souvenirs douloureux!!!
Pépé où nous avions laissé traîné la planche avec des pointes.

En parlant de pointes, pépé m'avais mis à contribution pour apprendre à clouer... je devais récupérer de vieux clous enfoncés et tordus dans le chêne, les détordre et les enfoncer sans les tordre, sacré exercice. Malgré tout ses efforts, je n'ai jamais su scier droit!!!

Je me souviens des moments merveilleux passés dans les bois à couper, tronçonner pour préparer l'hiver prochain.

Sinistre : c'est le mot qu'a prononcé Manuel en tombant du tilleul qu'il y avait en face de la vieille mairie. Denis Simon était sous l'arbre, sinistre a-t-il dit en voyant choire Manuel. Il s'en est tiré avec un talon de moins de sa chaussure.

Jeu du bâton : Il tourne, il tourne le bâton !!! mais attention à ceux qui sont autour (moi) au centre Manuel, les yeux bandés. il tourne, il tourne et V'lan, dans mon oeil, une étincelle grosse comme le ciel!!!
du sang et assommé sur la route... j'étais petit et lui bête rien de grave!!

Sébastien : Ho oui, je m'en souviens de son pouce...
Nous étions monté sur les tuyaux d'eau vers l'église car à cette époque, ils mettaient les canalisations pour que nous ayons de l'eau au robinet. Et V'lan patatras, un coup en avant, un coup en arrière, Sébastien à plat ventre avec en tout et pour tout neuf doigts sur deux mains, le pouce avait disparu... c'est mémé qui lui a retiré en mettant un peu d'huile... une connerie de plus qui se termine bien!!!

on a même mis en route un vieux tracto-pelle qui traînait vers les tuyaux... grosse frayeur!!!

J'en ai fait d'autres...
Grande course en vélo avec Didier, descente à toute allure sur la route de Prémery, hésitation de dernière seconde pour aller au bourg ou au pont et v'lan, c'est le mur, Didier complètement explosé par terre, les genoux en sang, moi rien, le vélo en vrac, la fourche à l'équerre et mémé qui me poursuivait avec la roue...

Ne pas jouer avec les allumettes : bien mal m'en a valu, j'ai simplement cherché un bidon (vide heureusement), monté une échelle et craqué une allumette. Boum plus de cheveux et la main brûlée, heureusement le bidon était entre mes genoux, tout est bien qui finit bien.

Denis et pépé n'ont pas choisi un bidon de 2 litres comme moi, mais un bidon de 200 litres, nettoyage par le feu, baouuuuuuuummmm, les deux côtés sont partis et on ne les a jamais retrouvés. Fort heureusement, ils étaient assis sur le tonneau, et s'en sont tirés avec une grande frayeur!!!

Demandez à Jacky et sa fameuse mobylette...
Il est allé chercher Anne Marie jusqu'à Autun pour la ramener à Lurcy, où ils se sont mariés, c'est beau l'amour...

Manuel et son carbur!!!
ah, il nous en a montré aussi le Manu avec ses explosions au carbur!!! On ne donnera pas le détail, mais les conserves montaient très haut, car l'eau arrivait sur le carbur. Je ne sais pas si il n'y a pas eu quelques aussi de mort.
On en a prélevé quelques uns à la main, dans les rivières de la Nièvre et du Morvan. Les cousins étaient aussi des spécialistes, vive les truites sauvages!!!

on se souvient aussi de l'âne qui était tombé dans les tranchées de Lurcy quand ils mettaient l'eau. la pauvre bête braillait et à réveillé tout le village. L'eau de la pompe était fraîche et buvable... quel délice dans du ricard ou de la menthe!!!

je me souviens aussi de mémé qui partait avec la brouette pleine de linge et allait vers le lavoir, entre la Poste et Mme Calvare. Je crois qu'on est tombé une fois dedans. Des tonnes de linge ont été lavés par mémé, les tantes...

Rosa, Marie se rappellent quant on trouvé le souterrain dans l'ancienne mairie. On jouait à cache cache et enfermés dans un placard trop nombreux, quant il y en a un  qui a voulu fermer la porte, le mur de derrière s'est écroulé et on s'est retrouvé dans la mairie, tout le monde s'est sauvé en courant!!!

les grands doivent avoir des souvenirs entre cousins.

les plus fous du village, Manuel et moi pour aller chercher les pigeons, nous sommes montés dans le clocher de l'église, mais comme ce n'était pas assez haut, nous sommes allés jusque sous le coq par l'intérieur en grimpant le long des charpentes... des durs à déconseiller à nos jeunes!!!

Sébastien, était un cousin, très rude, il y a eu quelques bonnes bagarres dans les rangs, mais on s'appréciait beaucoup...

Manuel se souviendra du tireur fou de Lurcy qui lui avait balancé une balle à la hauteur de la tempe. Titi, un copain du village, fort heureusement, c'était une carabine à plomb!

Paella: merci les mémés, pépés, soeurs, cousins, cousines, tantes, oncles qui nous ont fait de très bonnes paellas, saucissons, jambons, fleurettes, beignets, lomo que de bons souvenirs de voir ses saucissons sécher dans les étages, ces jambons vieillir dès la sortie du saloir, rien de hallal,mais tout était bon!!!

Les champions étaient l'oncle et les cousins, les cochons pesaient près de 300 kg.

Oui on aimait bien aller chez les cousins, manger avec eux les bons cochons...
Chaque réunion de famille, c'était pour s'échanger les souvenirs, les photos autour de bonnes charcuteries et bien arrosées, que de bons souvenirs!!!

Plus tard, sont arrivés les beaux frères, belles soeurs chacun avec ses propres souvenirs : parties de boules, rigolades, apéros, salades au mousseux, mariages, routies, naissances des neveux et nièces, cousins, petits cousins, arrières petits cousins, baptêmes, communions que de grands moments avec les moyens du bord.

Stéphanie Gonzalez

je me souviens quant on faisait le jardin avec papa... qu'il fallait ramasser des kilos et des kilos de pommes de terres!!!

j'adorais cette complicité qu'on avait tous les deux!!!
papa aimait énormément ses filles, nos maris ont tous eu une discussion privé avec lui, et papa leur diras à chaque fois, qu'il n'arrive rien à l'une d'entre nous...

Le pire, le jour c'est quant Eric et moi, avons eu notre accident de moto, il a bien fallut lui dire puisqu'il nous attendait...

enfin juste un merveilleux papa qui me manque!!!

je me souviens aussi du jour où toute la famille était réunit chez les grands parents...
tout le monde, étaient dehors, les grands parents assis sur leur banc blanc...
ce jour fut où Laetitia a eu son accident de vélo...Cécile  lui est rentré dedans, elle s'est prix  la croix en pierre (tout le monde a eu peur!) et c'est Manuel qui l'a ramassé pour la transporter à l'hôpital.
Cécile a tellement eu peur de se faire taper qu'elle était parti se cacher dans l'église durant quelques heures. Depuis ce jour Laetitia à une belle cicatrice sur le nez.

Béatrice Gonzalez

je me souviens lorsque l'on allait aux jonquilles dans les bois des gobets, une belle promenade appréciées de nous quatre car on savait qu'on aurait droit à notre petit verre de grenadine chez p'tit Louis!!!

Ma tante Anne Marie, avait une  place énorme dans ma vie et j'adorais cette tata, tant par son bon coeur et les souvenirs de mon enfance...
Très souvent, elle m'emmenait avec elle en normandie et une fois je me souviens avoir été sur la plage de Barneville Carteret dans la Manche, la marée est basse, la maman de ma tante c'était bien installé dans son siège et c'est vrai que le temps était vraiment bon, soudain Jacky,dit  il faut rentrer car la mer remonte et je  vois la maman a ma tante qui n'a pas l'air de s'inquiéter le moins du monde replier doucement son siège et avancer doucement et moi avoir eu une belle peur ce jour là

Bricquebec...ludo, moi et aurélie partons à l'aventure!!!
notamment nous allions rendre visite à leur tante Blanche et à chaque fois elle nous offrait a boire et quelques gateaux mais je souviens  qu'un jour elle nous a proposé du porto, je pense que Ludo doit s'en souvenir...

ses vacances pendant toutes ses années étaient peut être un signe car mon époux est né à Valognes à quelques km de Bricquebec!!! (certes je ne l'ai rencontré que bien plus tard...)

Le jour où elle nous a quittés, j'ai ressenti un grand vide en moi, j'avais tellement vécu de belles choses avec cette tata : elle avait le coeur sur la main, elle disait souvent quant on mangeait chez elle : "On va manger à la gamelle du pauvre" mais pour Anne marie cette phrase n'avait vraiment pas trop de sens car elle faisait toujours trop et il fallait surtout manger, certes elle cuisinait très bien...

Papa : Je me souviens le jour de mes fianciailles mon père était très fière car il allait bientôt marier une de ses filles, Il a demandé à Yvan de se mettre à genoux face à lui et de lui demander ma main, une bonne partie de rigolade ce jour là... mais pour lui c'était important car j'étais la première à se marier!!!

le jour de mes noces que ce soit civilement ou religieusement un mois et demi après, j'ai vu de la fierté dans ses yeux même si il ne laissait rien transparaitre et ce regard s'est répété à chaque fois que l'une de ses filles s'est mariée.

ses petits enfants étaient de ce qu'il avait de plus précieux avec ses filles, notamment à la maison est encore aujourd'hui nous sommes tous en photos sur un pan de mur de la salle à manger, que ce soit nous ses filles soit réunis toutes les 4 ou bien en mariée avec nos conjoints respectifs ou encore nos enfants soit seul ou avec son frère ou sa soeur...

Mes grands parents
mon grand père très peu bavard mais quelqu'un de bon, juste et d'une énorme gentillesse, je l'aimais mon pépé

Mémé tout comme pépé étaient très aimés de leurs nombreuses descendances et ils ne nous le rendais bien. Ma mémé était une personne qui était toujours très coquette, je ne souviens pas l'avoir vu sans être maquillée et surtout sans ses bijoux, elle savait se mettre en valeur mais tout en discrétion. J'aimais bien aller discuter avec eux... car leur savoir me fasciner...

merci à eux










 
 



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